Patrimoine

Partez à la découverte du patrimoine en vous promenant

Les moulins de Vinzier

Si vous suivez le GR 5 entre Vinzier et Chevenoz, vous ne manquerez pas de remarquer, à proximité de la passerelle, les vestiges d'anciens moulins.

Prieuré de Meillerie

Dominant le village, vous pourrez découvrir le Prieuré Sainte Marie de Meillerie. Créé avant 1133, il accueilli la vie ecclésiastique jusqu’en 1752, soit durant 619 ans.

Funiculaire d'Evian

Mis pour la première fois en exploitation en 1907, le funiculaire servait principalement aux clients de la société des eaux et des hôtels d'Evian. Prolongé de part et d'autre entre 1911 et 1913, la ligne permet par la suite d'accéder aux nouveaux thermes. Son exploitation, devenue déficitaire, cesse en 1 969. H est remis en fonction le 21 juin 2002 après une longue restauration àl'identique. Si vous le prenez pour rejoindre la gare amont, vous gagnerez 1/2 heure sur le parcours.

Parc de Neuvecelle

Le parc de Neuvecelle, avec ses jardins thématiques couvre une superficie de 5 hectares, il est répertorié comme zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique. Mascotte du parc, le héron, grand oiseau échassier migrateur, vit au bord des étangs du parc Un plan du parc de Neuvecelle et de ses jardins thématiques est à votre disposition en Mairie de Neuvecelle.

Chapelle de Maraiche

La chapelle de Maraîche, bâtie au XIIème siècle par des moines paysans, a été restaurée à diverses reprises. Son clocher ainsi qu’un tableau, une chasuble et un calice d’argent sont classés depuis 1924. Outre son caractère architectural, elle se prête souvent à la palette du peintre, sur fond bleu du lac, ou sur fond de montagne. Pour la visiter, se renseigner en Mairie.

Chapelle St Etienne

Au cœur du domaine de Blonay, la chapelle Saint Etienne est un bel exemple de l’architecture rurale des 12eme et 13eme siècles. Selon la tradition, avec plusieurs autres dans la région, elle aurait été édifiée aux premiers temps de l’évangélisation des bords du Léman. Dédiée à Saint Etienne, elle abrite au 9ème siècle une relique de Sainte-Anne, récompense reçue par Tristan de la Chapelle, seigneur du lieu. Cédée en 1266 par Pierre de Savoie aux prieurs de Thonon et de Bellevaux, elle fera partie ensuite de l’histoire du château construit dans son voisinage. Aux 16eme et 17eme siècle, elle est siège d’une petite paroisse, annexe de Publier, François de Sales, lors de sa mission en Chablais vint y célébrer la messe. Elle est classée à l’inventaire des monuments historiques.

Parc Maxima

Il tient son nom de la source alcaline « Maxima » (du latin MAXIMUM), découverte à la fin du 19ème siècle, source au prodigieux débit de 300 litres à la minute, embouteillée autrefois à raison de 75 000 litres d’eau par an et fortement prisée par les curistes et les buveurs. La découverte de la source sulfureuse « Terrier », (propriétaire du terrain à l’époque) lors des travaux de captage de Maxima, souligne alors l’apogée des thermes d’Amphion. Jusqu’en 1930, la source alcaline sera fréquentée puis délaissée et abandonnée, elle n’est aujourd’hui plus exploitée.

Vignes de Marin

Probablement amenée par les colonisations romaines, la vigne couvrait une grande partie du coteau, de la Dranse au Plan Fayet. Avec le temps les surfaces sont réduites et réorganisées : le vin de MARIN, issu du cépage chasselas, est classé AOC depuis 1989. La culture sur crosses est une technique originale pour gagner de la place. En faisant grimper plusieurs pieds de vigne sur un tronc de châtaignier (vendange à l’échelle) on augmentait la production tout en cultivant son jardin sous les crosses. MARIN compte encore 200 crosses.

La Vieille église de Lugrin

La Chapelle de Vieille Eglise bénéficie actuellement d'un programme de rénovation important. Datant du XIeme siècle elle contient des peintures murales du XVeme siècle.

Ferme de Presles

D’une contenance totale de 17 ha d’un seul tenant, La ferme de Prêles est axée sur la pluriculture, au cours des années 1900 elle comptait environ 400 cerisiers, les cerises étant vendues sur les marchés environnants et surtout en Suisse : elles servaient à la fabrication du Kirsch, jusqu’à 600 litres étaient alors distillées. La châtaigne remplaçait le pain, 5000 à 6000 kg étaient ramassés et vendus dans la même filière ainsi qu’à la foire de St André d’Evian. La culture du raisin sur crosse servait à la fabrication de vin blanc

Veron

La chapelle de Véron, « Style Baroque » a été construite en 1754. A l’époque l’église St Joseph de Lugrin n’existait pas encore. Le chanoine André Lugrin, né à Lugrin en proposa l’édification, considérant que les hameaux les plus éloignés, Troubois, Les Combes et Hons, pouvaient se sentir désavantagés par rapport à l’ouest de la commune où existait déjà la vieille église.

Pierre Tricéphal

Vous pourrez avoir une pensée pour la Pierre tricéphale de la maison forte de Valliège au hameau de Chez Busset. Elle présente un front, quatre yeux, trois nez, trois bouches et trois mentons. Taillée à l’époque proto-celte environ 1000 ans avant Jésus Christ, elle était en saillie sur le parement d’un mur, pour soutenir une poutre, sculptée dans une pierre très dure, la serpentine, minéral silicate de magnésium. Classée monument historique en 1954 par le ministère de l’éducation nationale, on peut en découvrir une copie dans la Mairie de Lugrin.

Pierre à Jean Jacques Rousseau

Depuis la pierre à J-Jacques Rousseau, on admire en partie la côte Suisse en songeant à la visite de Julie à Meillerie guidée par Saint-Preux dans le roman de Jean-Jacques Rousseau « La Nouvelle Héloïse ». Ce roman qui fut le plus grand événement littéraire du XVIII ème siécle et le modèle de tous les Romantiques.

Piège à Loup

Le Piège a loup a sans douté été construit il y a deux siècles, ces dispositifs ayant cessé d’être utilisés avec l’apparition de la poudre et du poison. Profond de 2 mètres, ses parois sont faites de pierres sèches bien appareillées, le sol étant recouvert de chaux. L’endroit avait été soigneusement choisi car il constitue le passage obligé pour les bêtes entre deux escarpements. Il faut l’imaginer recouvert de branchages, un agneau vivant servant d’appât et le fond de la fosse recouvert de pics.

Les carrières de Meillerie

Grâce à ses carrières, Meillerie était au siècle dernier l’une des communes les plus riches de Haute Savoie. A la fin du XIXeme siècle, les carriers furent les premiers ouvriers du département à créer des caisses de solidarité (maladie, vieillesse,..). Afin de permettre aux nombreux ouvriers provenant des communes voisines, de se rendre dans les différentes carrières situées au bord du lac, des chemins pédestres furent créés, parfois taillés à même le rocher.

Pierre à cupules de Féternes

Entre l'oratoire de Lesvaux et le Creux, cachée dans les bois à quelques pas de votre chemin, vous pourrez découvrir une pierre tabulaire couverte de dizaines de cupules parfaitement dessinées. Pourquoi, il y a 5000 ans, des hommes ont-ils sculpté de leur main ces blocs ératiques ? Nul ne le sait. On peut imaginer que cette pratique était associée à un culte mais pour l'instant aucune preuve n'est venu préciser cette hypothèse. Il semble cependant que notre pierre se trouve à proximité de l'ancienne route qui permettait de remonter depuis le gué de Vongy vers le plateau de Gavot.

Chateauvieux

Près des anciens châteaux de Féternes datant de l'époque romane, subsiste la Chapelle de Châteauvieux autrefois église Notre-Dame, jusqu'à la construction, en 1855, de l'église actuelle située au Chef-Lieu. Près de la chapelle se dresse majestueusement un tilleul datant d'Henri IV et classé arbre remarquable.

Lac de la Beunaz

Vous êtes au coeur du plateau de Gavot avec ses marais et ses lacs qui constituent des vestiges de la dernière glaciation. Ils bénéficient de mesures de protection, d'entretien et de mise en valeur dans le cadre d'un programme piloté par le SIVOM du pays de Gavot. Trois itinéraires vous permettront de découvrir ce patrimoine. Vous pourrez parcourir le premier au lac de la Beunaz, depuis ce circuit, les deux autres sont accessibles depuis le parking du collège du Gavot

Château de Larringes

L.E. Piccard vantait déjà le joli point de vue en 1908 : « Du Château, on domine la plaine, la montagne et le rivage élyséen du Léman… ». Le château mesure 36,25 m de longueur sur 22,75 de largeur, avec une grande tour carrée de 7,8 m de côté. Hauteur des murs 11,65 celle de la tour 16 mètres. Elle était de près de 18 m avant d’être mutilée lors de la révolution. Les murs comptent 1,8 m d’épaisseur… Le château a été construit au Xème siècle sur des ruines romaines. A cette époque très troublée, la nécessité de se défendre devient une priorité pour permettre aux habitants de se mettre à l’abri. L’emplacement choisi pour sa construction était un véritable point stratégique. Aussitôt qu’un ennemi arrivait, au sommet de tous les donjons s’agitaient des torches allumées. On donnait le signal en un instant, à 100 kilomètres à la ronde, l’arrivée des envahisseurs était connue.

Chapelle de Chez Crosson

Passant par le hameau de Chez Crosson où apparemment personne n’a porté ce patronyme, peut-être serez-vous attirés par l’esprit spirituel devant la chapelle dédiée à l’Immaculée Conception, propriété de la famille Millet…

La promenade d'Evian

La promenade s'étend du centre nautique jusqu'au vieux port. Elle fait figure de « vitrine paysagère » de la ville. A l’ouest, à proximité du centre nautique, le minigolf couvre un espace de 400 m² inséré dans un cadre paysager. Il est conçu comme un lieu de jeux et un jardin ouvert aux promeneurs. Le jardin de Benicasim (ville jumelée Espagnole) tout proche, abrite une collection de roses anciennes, dont on dit qu’elles décoraient les jardins de La Malmaison. A l’approche du lac, on découvre toute une collection d’arbres, à l’exemple du Séquoia géant pleureur Sequoïadendron giganteum « pendulum », qui enjambe la promenade.

Le jardin de Neckargemünd

Situé devant le Palais Lumière, ce jardin porte le nom de la ville allemande avec laquelle Evian est jumelée. Il a pour décor un fleurissement minimaliste en bordures et arabesques. Une fontaine et un bassin agrémentent l’ensemble. Le jardin a été réaménagé en 2008 en espace plus contemporain. Les nouveaux aménagements visent à favoriser les liens entre les quais et le centre ville. Des espaces de détente dits « salon végétal » y ont pris place.

le verger du funiculaire

Le présent jardin a été aménagé en 2008 par les services techniques de la Ville. Ce petit verger bien singulier, meublé de mobilier champêtre, est planté d’essences peu communes parmi lesquelles : un sorbier domestique, des figuiers, un néflier, mêlés à des essences plus courantes : des poiriers, des pommiers et des pruniers. Il a pour autre particularité de ne demander aucun arrosage. Ce jardin vise à faire le lien avec les sentiers de randonnée pédestre tout proches.

Le Chataigniers de Troubois

Le châtaigner du Troubois attirera votre attention : il faut 10 personnes se tenant par la main pour en faire le tour. .

Les alpages de Bernex

Si la forêt gagne du terrain, les pâturages sont encore vivants, les parcelles bien entretenues et clôturées. Vous pourrez ainsi rencontrer des génisses autour des fermes du « Tirou » ou de « la Bonne Eau » ; des chevaux sont souvent à l’estive non loin du chemin Lorsque vous aurez dépassé le Tirou, observez, en contrebas du chemin, le mur de pierre sèche que l’on longe. Il a été construit pour délimiter l’Alpage communal des parcelles privées. Il est le résultat d’un long travail d’épierrage qui devait permettre d’obtenir un meilleur rendement agricole à une époque où la population, plus nombreuse qu’aujourd’hui, devait sa subsistance aux seules productions locales. A Malpasset, à la Tailla, au Tirou ou à la Bonne Eau, les bâtiments n’ont été que très peu modifiés depuis leur construction, il y a plus de cent ans. Leur forme et leur organisation correspondent aux besoins des travaux agricoles. Les promeneurs sont les bienvenus dans cette montagne vivante pourvu qu’ils n’oublient pas de refermer les barrières et de tenir leur chien en laisse.

Le moulin de la Gerbaz

Le Moulin de la Gerbaz appartenait au Marquis de Lucinges Baron de Féternes et jusqu’en 1932 il permettait de fabriquer de la farine et de l’huile

L'église St Martin de Champanges

Champanges est un ancien Hameau de Larringes devenu paroisse en 1820 puis commune en 1860. Signe de cette prise d’autonomie, l’église Saint Martin, située au départ de notre randonnée, date de 1720. Un document, disponible en Mairie la présente de manière très complète.

Le Hucel

Le Hucel est un site d'observation du suivi migratoire. De début mars à fin mai, de nombreux oiseaux (cigognes noires, buses, milans noirs, milans royaux,...) rejoignent leurs sites de reproduction en Europe du Nord et en Europe de l'Est en passant au dessus du Hucel. Durant cette période, vous pourrez rencontrer des ornithologues sur le site.

Champeillant

Le site de Champeillant, point de départ de notre randonnée est remarquable par sa situation, sur une légère proéminence du plateau de Gavot, il domine les gorges de la Dranse là où se séparent les vallées de Bellevaux, Morzine et Abondance. La table d’orientation vous permettra de repérer le Mont Blanc, les sommets du Chablais mais aussi ceux du Jura et des Alpes Vaudoises.

l'Observatoire

L’observatoire de Vinzier, situé à proximité de Champellant, a été réalisé par la Société Astronomique du Léman qui a mis 7 ans pour achever sa construction. Il est ouvert au public 2 fois par an, notamment lors de la nuit des étoiles. A cette occasion vous pourrez découvrir les appareils et bénéficier des conseils avisés des spécialistes pour reconnaître les étoiles.

La Bourgeoisie de Saint Gingolph

La Bourgeoisie franco-suisse de St Gingolph est une institution créée en 1436 par l'affranchissement des habitants de la Mainmorte par le Seigneur Abbé d'Abondance. Il faudra attendre les rachats des bois de Bret jusqu'à Locum à la ville d'Evian en 1616 puis de Vers-la-Vaux jusqu'à la pointe du Bouveret à la ville de Tour-de-Peilz en 1636 pour que le domaine bourgeoisial de St Gingolph prenne sa composition actuelle. Avec les montagnes de la Chaumény, de Lovenex et de l'Haut-de-Morge en Suisse, celles de Neuteu, Trois-pertuis et Neuvaz en France, ce sont environ 2500 hectares de part et d'autre de la Morge, qui sont la propriété indivis de 400 bourgeois

Musée des traditions et des barques du Léman

De passage à Saint Gingolph, n'hésitez pas à visiter le «Musée des Traditions et des Barques du Léman». Situé côté Suisse dans le château bourgeoisial, le musée présente des objets et des documents sur les anciens navires de charge aux grandes voiles latines. Dans les combles, sous une magnifique charpente en mélèze de 1752, un ensemble unique de 33 maquettes de naus, brigantins et cochères illustre le développement des navires et l'activité du chantier naval de St-Gingolph. Un diaporama en Français, Allemand et Anglais retrace, entre le XVe et le XXe siècle, l'histoire de la navigation marchande sur le Léman.

Les vignes de Féternes

La culture de la vigne en terrasse était déjà présente à Féternes à l'époque romaine. Le phylloxéra et l'absence des hommes, partis faire la guerre en 14-18, sont venus de cette culture. Aujourd'hui une parcelle de 26 ares, est encore exploitée. On peut déguster le vin blanc de Féternes à l'épicerie du village, dans le hameau de Thièze.

La Dent d'Oche

La commune de Bernex ou « Barné » comme disent les anciens est dominée par la Dent d'Oche ou « Becca ». Culminant à 2222 m d'altitude et surplombant le lac Léman, elle constitue depuis plus de 300 ans un repère et un objectif pour les excursionnistes. Ainsi De Saussure établi-t-il dans les années 1770 que le sommet se trouvait 942 toises et 3 pieds au dessus du niveau du lac de Genève. C'est en 1914 que fut construit à 2140 m d'altitude le « nid d'aigle » refuge qui accueille aujourd'hui encore les randonneurs. Le 6 juin 1925 des alpinistes venus de Chamonix et entrainés par Joseph Ravanel firent la première ascension de la face nord, qui se présente à votre regard et que vous pourrez contempler en parcourant le « tour du mont César ». L'aventure n'est pas finie car le massif abrite également la Tanne e Chalouw, un gouffre déjà profond de 657 m et dont l'exploration n'est pas terminée.

Le Mont César

Le mont César semble devoir sont nom à l'empereur romain qui aurait bivouaqué à son pied. Ses parois calcaires, particulièrement fracturées se sont effondrées en partie, laissant en place des écailles de toutes tailles plus ou moins détachées de la montagne. La végétation en place montre que les éboulements sont rares, mais vous rencontrerez des éboulis qui attesteront que ces éboulements peuvent entrainer de très grosses masses de rochers.

La pierre à cupules de Chez Crosson

Située au hameau «chez Crosson», au lieu dit «les Bossenailles» elle est appelée couramment «la Pierre Gauloise». Ce bloc erratique date de l’époque préhistorique, c’est sans doute la première trace de nos ancêtres sur la commune. Ce fut une pierre sacrée, un lieu de culte ou de sacrifice, elle n’a pas livré tous ses secrets avec ses cavités, ses rainures, son écriture, ses symboles, pour nous incompréhensibles. Magie, sorcellerie ou superstitions, certaines légendes nous enchantent par leur petit goût de terroir !

Le Château de Blonay

L'histoire de Saint Paul a été longtemps associée à celle de la famille de Blonay qui régna sur tout le bassin lémanique du XIeme au XIVeme siècles. Le château de Blonay qui appartint a cette famille jusqu'en 1878, est maintenant devenue la salle des fêtes de la commune.

Les Faverges

Situé entre la Beunaz et Chez les Racles au coeur de la vallée de l'Ugine, le village des Faverges a une longue histoire artisanale

La rue des pêcheurs de Meillerie

C'est le coeur du village historique de Meillerie

La maison des Soeurs à St Paul

Elle ne retient pas le regard pourtant c'est la plus vieille construction de ce secteur.

Patrimoine rural du prieuré de Meillerie

Les chanoines possédaient de nombreuses dépendances.

Novel

La plus petite commune de Haute Savoie mérite le détour