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Au départ de Grésin, près des Ecuries du Gavot, nous procédons au désherbarge-débroussaillage du sentier de la Boucle des Vignes sur Marin jusqu’à la Cutlaz. Sur cette portion nous abordons un sentier situé essentiellement en lisière forestière ce qui nécessite l’utilisation du roto fil pratiquement sur toute la portion de parcours. De fréquentes averses ne nous ont pas facilités la tache.
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Quelques coups de pioches à l’endroit d’un affaissement chronique de terrain aménagé par des troncs en escalier se révèlent très efficaces. Plus loin nous creusons une goulotte d’évacuation pour purger une zone boueuse située à la sortie d’une source.
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Nous arrivons sur la zone critique où le sentier est barré par l’abattage de gros sapins à l’aplomb de la Cutlaz, juste avant la traversée d’un petit torrent. Nous barrons avec quelques branches le sentier de perdition qui s’est formé depuis l’incident et qui file tout droit et nous retraçons à la pioche la petite variante d’une vingtaine de mètres qui rejoint le bon sentier un peu plus bas.
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Plus bas, au niveau de la traversée du torrent, le parcours devient quelque peu inconfortable du fait de la présence de plusieurs sapins abattus et entremêlés façon Mikado. Nous ne pouvons que scier quelques branches pour faciliter ce passage qui nous contraint à longer un sapin hérissé de branches et à en enjamber un autre. La suite des travaux reste du ressort des bûcherons qui devraient, selon nos informations, dégager ces bois.
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Une fois passé le petit torrent nous rejoignons une piste qui laisse la suite du parcours sur la gauche et rejoint Chullien.
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En cours de parcours, nous rencontrons sur le chemin un rapace (??) de la taille d’un gros poulet, couché sur le chemin, tout mouillé et bien mal en point, comme à l’agonie. Après renseignement téléphonique chez un vétérinaire, nous sommes rassurés au sujet d’un éventuel risque lié à la grippe aviaire et dirigé vers une association de sauvegarde animale sise à Mieussy. Contact est pris pour que le volatile affaibli soit récupéré le lendemain. Après l’avoir mis en sécurité, nous le récupérons au retour des travaux et depuis il semble aller beaucoup mieux.
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